Manifeste

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Tout le monde connaît la fabuleuse histoire de la conquête spatiale et des premiers pas d’un homme sur la lune et celle de ses acteurs clés. Le président John F. Kennedy qui proclame cette ambition en 1962, l’ingénieur Wernher von Braun père de la fusée Saturne V, Neil Armstrong, Buzz Aldrin, Michael Collins, les audacieux astronautes qui relèvent ce défi.

Mais dans cette épopée des temps modernes qui connaît Margaret Hamilton, informaticienne qui conçut le système embarqué du programme spatial Apollo ? Les informaticiens étaient peu mis en avant, mais les temps ont changé et c’est maintenant nous qui créons le futur !

Steve Jobs, Bill Gates, Elon Musk, Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, Larry Page, Sergueï Brin, Tony Hsieh, Kevin Systrom, Jack Dorsey, Evan Williams, Bobby Murphy ont tous un point commun, ce sont des développeurs talentueux qui ont bâti des empires et changé le monde.

Le geek d’aujourd’hui est la rock star des années 60

Les années 60 sont marquées par un mouvement qui souhaite changer le monde, le rendre plus libre, plus ouvert et plus accessible à tous. La contre-culture hippie, les artistes et les musiciens de cette époque portent cette révolution et ces rêves.

Ce même mouvement de rupture existe de nos jours, mais cette fois porté par la culture geek, pour rendre le monde plus libre, plus ouvert, plus accessible… plus connecté.

Le geek de la révolution numérique n’est pas l’ingénieur informaticien de la révolution informatique. Il est plus attrayant, casse les codes vestimentaires de l’entreprise, fait son apparition dans la presse people, lève des millions et bâtit, de manière fulgurante, des empires économiques, plus puissants et prospères que certains pays, avec un investissement négligeable au démarrage: un ordinateur, une idée, la motivation de changer le monde et la production de son code source. Le geek d’aujourd’hui est la rockstar des années 60 (...).

Une mutation des apprentissages obligatoire

À l’heure de l’Humanité 2.0 où la question de l’évolution de notre monde va de pair avec celle de la machine (Intelligence Artificielle, Machine Learning, Cloud, BigData…), et d’une interdépendance accrue entre organique et mécanique, la question de la formation des talents de demain ne peut se faire sans une remise en question totale des approches de l’enseignement.


  • Notion d’expertise, de certitude technique

  • Pluralité de positionnements pédagogiques d’une école

  • Évolution du Triangle Pédagogique

  • Révolution de la Solidarité Organique avec l’ajout du facteur machine

  • (...)

Open Source des savoirs

Le monde de l’entreprise doit ainsi prendre sa part de responsabilité dans la capacité à trouver les talents “Talent Mining”, à sélectionner aux habilités / capacités et accompagner le développement des compétences “Talent Crafting” afin de répondre le plus justement possible aux attentes du marché de l’emploi. Faire le deuil de son isolement, de sa dépendance au système éducatif en place, en étant acteur d’une approche différenciée de l’apprentissage, voici une des motivations de la création de la Zenika Academy.


Zenika, Great(est) place to work des entreprises de moins de 500 salariés de France, est saluée pour :


  • Son expertise reconnue des consultant.e.s / formateur.ice.s

  • Sa compréhension des besoins métier

  • Son anticipation des évolutions techniques

  • La formation et l'accompagnement du monde de l’entreprise

  • (...)


Ainsi, la mutation vers la formation des talents de demain avec un modèle pédagogique alternatif est une suite logique de la proposition globale Zenika, ajoutant à sa maxime historique “Coding the world” et, couplé d’une inspiration des préceptes de “The Hacker Ethic and the Spirit of the Information Age” :


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